VOUS DOUTEZ DE L’INTÉRÊT DU COACHING?
Devenir coach ou se faire coacher
Vous doutez de l’intérêt que peut avoir un coaching ? Vous reconnaissez l’un des préjugés repris ci-dessous ? Osez-vous vous mettre au défi de poser un autre regard sur le coaching ? Que pourrait vous apporter le fait d’oser regarder le coaching « dans les yeux » ? Comment pourriez-vous modifier votre point de vue ?
Formation de coach certifié.e ICF en Suisse romande
- Le coaching ne concerne que les incompétents et les personnes à problèmes.
- J’ai tant d’années d’expérience. Un coach ne peut rien m’apporter de plus.
- Ce n’est pas moi mais le management qui devrait être coaché.
- Le coaching ne concerne que les hauts dirigeants.
- Les managers de haut niveau n’ont pas besoin de coaching.
- Le coaching ne concerne que le fonctionnement professionnel.
- Quelques jours de vacances et une bonne conversation entre amis permettent aussi d’évacuer les frustrations.
- Au travail, on travaille ! Il ne s’agit pas de s’y « sentir bien ».
- De quoi un coach est-il plus capable que moi ?
- Le coach ne connaît pas mon domaine d’expertise. Comment pourrait-il, dès lors, m’aider ou m’accompagner ?
- Tous ces bavardages ! Le changement, ça doit aller vite.
- Je préfère lire un livre sur le sujet, j’y apprendrai tout autant !
- Le coaching n’est pas quelque chose de « palpable », le coaching est « soft ». Donc, ça ne peut pas fonctionner !
- Qui peut prouver ce que le coaching apporte vraiment en plus ?
VOTRE CHOIX EST-IL DE STAGNER DANS VOTRE MÊME FONCTIONNEMENT ? PRÉFÉREZ-VOUS LE STATU-QUO ?
Votre manière d’agir ne vous a offert que des avantages dans le passé. Est-ce encore le cas aujourd’hui ? Vous avez le choix : vous pouvez-vous rebeller contre le contexte changeant ou vous réjouir de l’opportunité qui se présente à vous de vous épanouir en développant de nouvelles idées et façons d’être.
Vos doutes quant au sens du coaching et/ou vos résistances à son égard sont souvent liés à votre résistance par rapport au changement et à la peur qu’il engendre chez vous.
Vous pouvez, cependant, envisager votre résistance comme étant un premier pas vers le changement.
Quand vous ressentez de la résistance, c’est que vous êtes déjà plongé dans le bain du changement. Vous avez donc le choix : soit ruminer vos sentiments négatifs, soit comprendre les avantages que représentent l’auto-réflexion et l’élargissement potentiel de vos compétences et vous mettre en mouvement.
Le monde présente un tout autre visage dès qu’on accepte que l’on est doté de nombreuses compétences inutilisées.